Dès les origines en 1796, Marie Rivier accueillait dans ses écoles des filles et des garçons d’origines diverses : catholiques, protestants, nobles, révolutionnaires et aussi des orphelines et des pauvres.

Ses nombreux écrits, ses actes ont laissé des principes éducatifs d’une étonnante modernité comme par exemple le contrat passé avec des pensionnaires en février 1826, comme aussi le fait de rappeler que l’on ne peut bien s’occuper des autres qu’à condition de bien se connaître soi-même, que chacun doit être considéré comme un être unique, que l’éducation et l’enseignement ne peuvent se concevoir en dehors d’un regard bienveillant….